Encore une fois la direction de la SNCF par son refus d’un véritable dialogue social oblige les agents de la SNCF a se mettre en grève pour être écoutés, la direction préfère envoyer sur les routes les usagers et contraindre les salariés a se mettre en grève et donc voir leur rémunération amputée.
Les salariés de la région refusent que les remplacants des controleurs en congé cet été soient placés en situation précaire.
Les salariés de la SNCF comme la plupart des salariés refusent cette logique de précarisation et ont bien conscience que le marché du travail ne repond pas a une logique de vase communiquant, ce qui est pris a un travailleur n’est pas donné a un autre travailleur, ce qui est pris a un travailleur servira de base pour prendre demain a d’autres travailleurs.
Seule une solidarité renforcée entre tout les travailleurs permettra de lutter efficacement contre les régressions sociales.
Tout comme les salariés de la SNCF en grève de 2 jours contre la précarité, les salariés d’Esterra en grève de la faim depuis presque 20 jours contre les licenciements abusifs, les régressions sociales et l’augmentation de la pénibilité du travail, il est temps que chacun dépasse les égoîsmes et s’engage pour défendre les personnes en situation précaires tel que les élèves sans-papiers menacés d’expulsion, les réfugiés politiques recherchés par les dictatures a qui la loi CESEDA actuellement discutée vas refuser le droit d’asile…