Solidaires au complet. Trois élu.e.s Adespol présent.e.s (sur 5) et un élu Corpo (sur 3). Conseil interminable : tout le monde ne reste pas jusqu’u bout excepté deux élus Solidaires (avec une procuration du troisième).
– « dialogue » de gestion avec l’université : la faculté a réussi à grapille trois de 11 postes « loi ORÉ » de titulaires ouverts sur toute l’université (pas d’autre recrutement de titulaire). Cela paraît beaucoup mais il y a une dizaine de départs en parallèle, non remplacés donc. Il y a par contre un léger rééquilibrage favorable du budget « fonctionnement » de la faculté. L’université veut jouer les bons élèves pour espérer des miettes du Ministère. La faculté a désormais plutôt pour ssratégie de mettre lapression.
– EuraTechnologies et l’Ordre des Avocats veulent qu’on investisse dans un protet de « legal tech » pour incuber des start’up. Personne ne comprend vraiment l’intérêt (il n’y en a pas !). Un vote contre : à la place, on achètera des livres !
– Sélection en M1 : quelques baisses des capacités d’accueil. Solidaires vote, bien seul, contre.
– Parcoursup : Non seulement des « oui si » sont votés, parce que des gens espèrent des moyens derrière et parce que le dispositif est détourné pour faire des TD de remédiation au second semestre, mais des baisses de capacité d’accueil sont votées en droit, AES et science politique, au niveau des inscrits de cette année. Il y a ainsi suppression de places « fictives » : on n’accueillera pas plus d’étudiant.e.s, parce quea faculté n’en a pas les moyens. Un raisonnement qui selon nous, Solidaires, est juste suicidaire. On se retrouve bien seuls à voter contre les capacités d’accueil, les = oui si » ou encore les commissions de sélection. Assez surprenant : le doyen nous rejoint sur un vote, relatif aux critères de sélection, mais ils passent tout de même.